Wassyla Tamzali à L’Orientale

 

Wassyla Tamzali à L’Orientale

Wassyla Tamzali

L’écrivain franco-algérien rencontre les étudiantes dans le siège de Via Chiatamone

Naples, 24 mars 2010 – Termine avec le rendez-vous d’aujourd’hui au palais Du Mesnil à 9 heures, un cycle des rencontres – né par la collaboration entre « Le Grenoble » et « L’Orientale » – avec l’écrivain Wassyla Tamzali.
Le séminaire du prof. Mario Petrone, commencé le 22 mars dernière avec la présentation du texte « Une passion algérienne » (ed. Filema) à l’Institut Français de Naples, et été suivi le jour après avec un débat sur l’état de la condition des femmes du la méditerranée.
Le dernier jour on prévoit une rencontre de l’écrivain avec les élèves. Dans un contexte volument plus informel, où le rapport plus colloquial offre l’occasion pour connaître – sans filtre – l’écrivain et le sens de sa vie active.
Déjà promotrice da mouvement de-structuraliste de la conscience euro-occidentale, Wassyla Tamzali regarde au passé quand elle doit se découvrir une identité ; mais elle tient tenacement à la lutte modern pour l’égalité à travers l’éducation civil.
De ces trois jours il restera l’idée de l’alternative au pouvoir dominant. L’utopie suivant cité on sort affaiblie. C’est aussi intéressante noté l’attention de l’autrice au changement linguistique du significat qu’elle-même donné a certains termes. La différence, la modernité, le comportement multi-culturaliste (réellement indifférent) et encore la responsabilité, la laïcité, l’éducation, la femme. A ce propos, l’écrivain réponde a la demande qui ouvre le débat : « Por quoi Une Education Algérienne est le titre de votre livre ? Et encore : « Quel sont les conditions nécessaires qui relance le rapport dangereux entre liberté, religiosité et control social dans le projet d’une ambitieuse modernité culturelle ?
Le rencontre se termine avec la dernière invitation de Wassyla Tamzali : la révision de chaque certitude, à la recherche d’une action au moins personnelle.

Claudia Cacace

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